Itinéraire de deux semaines

Jours 1-3: Départ de Montréal et arrivée à Tokyo. On a pris deux jours pour visiter la mégapole et s’imprégner de la culture japonaise – tout en se remettant du décalage horaire.

Jour 4: Départ en avion à l’aéroport de New Chitose (au sud de la ville de Sapporo) pour récupérer notre auto et conduire jusqu’à Furano, ville au charme typiquement japonais – souvent comparée à Niseko il y a dix ans – située en plein cœur d’Hokkaido. En soirée : un peu de ski pour se dégourdir les jambes.

Jour 5: Ski à Furano, destination qui devient de plus en plus populaire avec l’essor touristique qui arrive de Niseko. Si vous voulez en profiter avant les foules, c’est maintenant ou jamais!

Jours 6-7: Journées de ski de randonnée à Tokachi-dake (10 km, 1110 m) et Furanodake (7 km, 750 m). Une poudreuse incroyable, d’énormes faces ouvertes; c’était une expérience inoubliable. Et pour finir la journée, le onsen (bain thermal) Fukiage – une grande tradition bien connue du Japon dont nous sommes rapidement devenus adeptes!

Jour 8: Départ de Furano pour notre prochaine destination : Lac Toya. Exploration à pied de la station et du village d’Hirafu Niseko.

Jour 9: Journée de touring à Shiribetsu-dake (11km, 1000m). Ce volcan est une desitination prisée de ski de randonnée puisque l’on peut skier plusieurs versants différentes, selon les conditions de neige (arrivez tôt!). La vue sur un autre volcan, le mont Yotei, est tout aussi impressionnante. Nous avons terminé la journée au onsen Makkari, que nous avons par la suite fréquenté tous les jours!

Jour 10: Ski à Kiroro, véritable coup de cœur du voyage pour son terrain hors-piste fantastique. Il y a également de belles possibilités de ski de rando à y faire si vous souhaitez passer beaucoup de temps à Kiroro.

Jour 11: Ski à Niseko, une expérience incroyable malgré l’affluence touristique. C’est LA montagne qui reçoit le plus de neige avec 13 m en moyenne par saison. Pour les adeptes de hors-piste, on y va pour la fameuse gate 3 qui mène au sommet (prévoir 30 minutes de bootpacking après le dernier télésiège). Ce qu’on a moins aimé : avec le développement de la montagne, les prix ont grimpé en flèche et on a perdu le charme typiquement japonais autour de la montagne. C’est très touristique. On aurait quand même aimé y passer plus de temps, mais le sommet de la montagne et l’accès aux bowls sont seulement ouverts pour une journée, et Niseko devient très vite tracée.

Jour 12-13: Ski à Rusutsu. Protégé des vents, ce village est un excellent plan B lorsqu’il vente à Niseko. C’est très facile à s’orienter en hors-piste, à la différence des autres montagnes où nous devions constamment nous arrêter et vérifier notre position sur FATMAP. Un must : le mont Isola!

Jour 14: Retour à Montréal.