Dans le monde des initiés, Rip Curl est synonyme de surf. La marque d’origine australienne possède tout ce dont vous avez besoin pour vous mettre à l’eau pour une première fois aussi bien que pour les professionnels du circuit de la WSL. Avec sa campagne The Search, Rip Curl s’entretient avec les meilleurs surfeurs de partout à travers le monde à la recherche de la meilleure vague et discutent du mode de vie qui y est relié. Quand on m’a proposé de participer à un camp de surf au Salvador, j’y ai vu une occasion d’échapper à l’hiver et de prendre part à une expérience qui relève du paradis pour n’importe quel surfeur aguerri… pas besoin de vous dire que je ne me suis pas fait prier.
Si vous n’avez jamais entendu parler de OuiSurf, vous vivez sous une roche. L’émission de surf la plus populaire au Québec a établi au Salvador, juste en face du Eldorado Surf resort, un camp de surf pour les initiés comme pour les beach bums qui mettent le pied sur la planche pour la première fois. En partenariat (notamment) avec Rip Curl, ils y ont créé un endroit paradisiaque pour apprendre, relaxer, s’amuser, explorer et bien sûr, surfer.
Quand Rip Curl a proposé à Altitude Sports de se joindre à leur prochain groupe de surfeurs pour tester la marchandise en direct du Salvador, je me suis jetée à l’eau sans savoir ce qui m’attendait. Je n’avais qu’une certitude: il fait plus chaud sur les plages de l’Amérique centrale qu’à Montréal…
Une journée au paradis du surf
Le soleil est à peine levé que je suis déjà sur la plage, pieds nus dans le sable. Les instructeurs nous parlent des vagues et je fais connaissance avec les autres campeurs autour d’un café. À mesure qu’on choisit les vêtements et l’équipement propices à notre première journée, le soleil se lève pour réchauffer l’eau. On se rend à la plage d’El Palmar, à quelques minutes seulement du camp, pour attaquer nos premières vagues.
À El Palmar, l’ambiance est conviviale et tout le monde rock son nouveau maillot ou rash guard Rip Curl. Sous l’œil attentif de l’instructeur, on chevauche nos premières vagues. Un défi simple, mais qui s’avère particulièrement stimulant pour ceux qui ont troqué leur planche à neige pour une planche de surf.
Après trois heures de surf, mes vêtements Rip Curl ont encore fière allure. C’est à peine s’ils ont bougé de mon corps malgré les vagues qui m’ont retourné, fait tomber de ma planche et avaler de l’eau. J’ai l’impression d’avoir une deuxième peau qui accompagne mes mouvements avec aisance tandis que je rame à travers les vagues et que je me lève sur la planche. Il n’en faut pas plus pour que je me sente épuisée, certes, mais aussi exaltée et encouragée à surfer la vague parfaite.
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L’heure du lunch sonne le retour à Eldorado. La marée est basse et les vagues sont petites, on en profite donc pour relaxer et pour jouer au Ping Pong sur la plage. C’est fou de penser que je me trouvais au beau milieu d’une tempête de neige pas plus tard qu’hier.
Au camp, l’ambiance est décontractée et invitante. Les campeurs qui s’y trouvent me font vraiment sentir à ma place ce qui me donne encore plus soif d’apprendre. Dès la première leçon, je me sens déjà plus en confiance sur ma planche.
Si l’objectif du camp est d’apprendre à surfer, les cours n’ont rien à voir avec votre classe de math de secondaire 1. L’horaire ressemble plutôt à ceci: pratiquer son équilibre sur la planche à la piscine, confectionner une planche de surf au studio D Calles (où vous apprendrez comment fabriquer votre propre planche), l’apprentissage de la méthode de cirage directement sur la plage, des séances de calcul de la marée et des cours de yoga spécialisés pour le surf.
Ici, les instructeurs sont passionnés, sympathiques et avenants. Mais comme le veut la philosophie OuiSurf, rien ne vaut la pratique, c’est pourquoi on passe la majeure partie de notre temps à parfaire notre technique.
La marée monte et l’intensité des vagues s’amplifie avant de venir se briser sur la plage sous le soleil de l’après-midi. On dirait que c’est déjà l’heure de retourner dans l’eau pour notre deuxième séance de surf de la journée.
Avec les souvenirs encore bien frais sur mes leçons du matin, je décide de m’attaquer à des vagues de plus grande envergure. Repousser ses limites est le mantra du camp, et je me dit que ce n’est pas pour rien parce que je remarque déjà les progrès dans ma façon d’attaquer les vagues.
Le déclin du soleil met fin à notre dernière session dans l’eau. Au camp, le souper s’organise sur la terrasse : tout le monde mange et boit tout en échangeant ses impressions de la journée. Après une seule journée ensemble, on connecte déjà. On se sent tous relié à la culture, le camp et la quête de la vague parfaite.
Si la journée a été chargée, la soirée se fait plutôt courte à mesure que tous tombent de sommeil. Ce n’est pas plus mal, on sera debout à l’aube, prêts à attaquer les premières vagues. En me mettant au lit, je ne peux m’empêcher de penser que cette journée qui se termine marque certainement le commencement d’une nouvelle passion.
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L’ensemble RipCurl idéal pour le camp OuiSurf.
Combinaison Mirage Essentials |
Casquette Laydaze |
Chandail Rashguard Compass |
Montre Maui Mini Tide |
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